jeudi 22 novembre 2007

Anniversaire du Disque


Le jeudi 22 novembre 2007

Anniversaire du Disque de JPC, aujourd'hui: sept ans déjà!

Le disque de JPC, dont j'inclus ici l'image, ne se démodera pas de sitôt. En effet, la présentation visuelle, le choix des pièces, la voix *supraterrestre*, ainsi que j'avais insisté pour la qualifier (et à raison), font de ce disque une réalisation intemporelle. Bravo à JPC d'avoir fait confiance à son entourage, ce qui n'est pas toujours facile, même lorsqu'on a fait don à Dieu de sa liberté, quand une œuvre nous touche de si près. Pour commander un exemplaire de ce disque, m'envoyer tout simplement un courriel. J'aimerais ajouter que s'il me fallait passer un an sur une île déserte, j'emporterais
, outre le nécessaire pour écrire, ce disque et ma Bible de Jérusalem. : )

Il me semble harmonique d'ajouter un bref extrait de ZENIT, avec remerciements, qui parle du sens de la vie ici-bas. Il s'agit d'une entrevue avec Georg Ratzinger, frère du Saint-Père Benoît XVI. L'on peut lire l'entretien intégral en visitant le site zenit.org.

«Dans sa description détaillée des années de son enfance et de sa jeunesse dans la maison paternelle, Mgr Georg Ratzinger, né en 1924 à Pleiskirchen dans la commune de Altötting, a souligné la profonde dévotion qui a toujours imprégné leur vie de famille. ... La vérité fondamentale qui a toujours guidé les trois frères et sœurs (Georg, Joseph et Maria), a-t-il précisé, est celle qui est contenue dans le Catéchisme: « Pour quelle raison sommes-nous sur la Terre? Afin de pouvoir honorer Dieu et aller au Ciel».

Dans une veine connexe, ayant trait au SENS, j'espère que ces prochaines semaines, l'on entendra moins parler de «Fêtes» ou de *Temps des Fêtes*, dans la publicité en général, et davantage parler de Noël. Si le 25 décembre était l'anniversaire de l'un de nos proches, convierions-nous tout le monde à une *Fête*, sans nommer celui ou celle que l'on fêtera? La seule raison pour laquelle, à mon avis, nombre de sociétés commerciales passent sous silence la plus petite référence à Jésus, à la Nativité ou à Noël, est qu'encore aujourd'hui, Jésus dérange. Il me fait plaisir de constater qu'Il dérange toujours, mais il m'afflige que nous n'ayons pas assez de colonne vertébrale pour affirmer NOTRE identité spirituelle: la foi et le courage qui animaient nos ancêtres, pour la plupart venus de France, qui sont venus ici établir des écoles, des hôpitaux, des églises, souvent au prix de leur vie. Sans eux, sans ces innombrables martyrs, nous n'aurions rien pour attirer de ressortissants étrangers vers le Canadian Dream, ni non plus vers le Rêve Québécois. Si nos ancêtres avaient été incroyants, ils seraient tout simplement demeurés en France et nous n'aurions pas de pays, aujourd'hui.

En ce qui a trait aux accommodements raisonnables, je crois que nous, Québécois, sommes déjà fort accueillants et que la seule chose qu'il nous reste à améliorer consiste à donner une chance aux nouveaux arrivants. Toutefois, il est naturel qu'en retour, ceux-ci fassent preuve de bonnes manières en commençant par observer quels sont les usages, chez nous, de manière à s'intégrer sans nous faire sentir comme si nous n'étions plus ici chez nous. Premier arrivé, premier servi: si la règle vaut dans leur pays d'origine, elle vaut tout autant ici, et ce n'est pas pour rien qu'existe le dicton: À Rome, il faut faire comme les Romains.

Ici, au Québec, les *Fêtes* prédominantes, entre le 15 décembre et le 15 janvier, sont Noël, anniversaire de Jésus, et le Jour de l'An, autre fête non seulement civile, mais religieuse, puisqu'on l'appelait autrefois *Circoncision de Jésus*. Si nous sommes assez fins (finesse de cœur) pour offrir à certains de nos concitoyens de bons vœux de Hanukkah ou de Joyeux Noël orthodoxe, ce n'est là qu'un effet de notre bonté, mais nous ne devons jamais oublier que c'est au nom de leur foi, foi chrétienne, foi catholique, que ceux qui ont fondé nos hôpitaux, nos écoles, nos universités, et qui ont construit nos églises, sont venus s'établir ici. Vive Noël, car un *Temps des Fêtes* en général, sans but, sans substance, n'aurait aucune raison d'être.
: ) †